Mohammed VI : roi de la sagesse, non des manœuvres  Entre diplomatie subtile et poigne ferme

Mohammed VI : roi de la sagesse, non des manœuvres  Entre diplomatie subtile et poigne ferme
Par Zakiya Laroussi
Lorsque certaines plumes étrangères écrivent sur le Maroc, elles trahissent souvent, malgré elles, l’inquiétude suscitée par l’ascension d’un pays guidé par un roi visionnaire. Citoyens marocains, dans une époque où les voix se multiplient et où les écrits se croisent, le journal Le Monde ose qualifier les actions de notre roi Mohammed VI de “manœuvres diplomatiques”. Et là, il faut s’interroger : s’agit-il de manœuvres lorsque le Maroc impose sa voix sur la scène internationale ? S’agit-il de manœuvres lorsque la question du Sahara marocain, longtemps instrumentalisée, devient un symbole de souveraineté et de dignité ? S’agit-il de manœuvres lorsque le monde entier écoute le Maroc et suit ses décisions ?
Ce que certains appellent “manœuvres”, nous l’appelons art du leadership, génie stratégique, sagesse royale et vision à long terme. Mohammed VI n’est pas un politicien éphémère, il est l’architecte d’une stratégie nationale solide. Depuis son accession au trône, il porte le destin du Royaume dans son cœur et trace une voie claire : un Maroc maître de ses décisions, fier de ses positions, résolu dans sa détermination, ambitieux dans ses réalisations, inébranlable dans la défense de son intégrité territoriale.
La question nationale, le Sahara marocain, n’est plus un dossier en suspens comme certains aimeraient le présenter, mais grâce au Roi, elle est devenue un symbole de dignité et de souveraineté. De Washington à Madrid, des capitales africaines aux pays du Golfe, le monde répète désormais le message marocain : l’autonomie est la seule solution viable. L’observateur avisé comprendra que le Maroc a réussi là où d’autres n’osaient même pas agir. Ce qui était jadis un instrument de pression est devenu aujourd’hui un levier de puissance entre les mains du Royaume.
Grâce à la politique royale, des puissances majeures, notamment les États-Unis, ont reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara, suivies par d’autres capitales influentes en Europe et en Afrique. L’initiative d’autonomie s’est imposée comme la seule solution sérieuse reconnue internationalement, faisant tomber les slogans dépassés que nos adversaires ont entretenus pendant des décennies.
Ceux qui ne comprennent pas la nature de ce roi pensent que sa discrétion est faiblesse, que son silence est mystère. En réalité, son calme est sagesse, son silence est maîtrise, et ses décisions arrivent toujours au moment précis pour bouleverser les calculs de ses opposants. Mohammed VI ne parie pas sur le vacarme, mais sur une diplomatie subtile, profonde et visionnaire.
Il a renoué le Maroc avec son Afrique profonde, ouvert des portes vers l’Asie et le Golfe, et fait du Royaume une plateforme de dialogue entre l’Est et l’Ouest, entre le Nord et le Sud. Il a su transformer les équilibres en faveur du Maroc : ouvrir là où d’autres ferment, construire des ponts là où d’autres détruisent.
Ce qui dérange certaines plumes françaises, c’est que le Maroc n’est plus un terrain de jeu sous influence parisienne. Aujourd’hui, la relation avec la France repose sur l’égalité et le respect mutuel. Macron lui-même a rencontré un roi conscient de son poids et imposant ses conditions. Voilà pourquoi certaines analyses débordent d’amertume : le Maroc n’est plus un subordonné, il est un partenaire digne et respecté.
Mohammed VI n’est pas un roi de protocoles froids, il est un roi du terrain. Son action se voit dans les infrastructures géantes, le développement du Sud, les initiatives humanitaires africaines. De Tanger à Laâyoune et Dakhla, il a lancé des projets monumentaux. Il a fait des énergies renouvelables un choix stratégique et étendu la main aux peuples africains, faisant du Maroc un modèle de coopération Sud-Sud. Il n’a pas oublié ses compatriotes de la diaspora, en faisant leur bien-être une priorité nationale.
Alors, où sont les “manœuvres” ? Ce sont des épopées de construction, des poèmes de patriotisme écrits par les faits, non par les mots.
Que chacun sache :
– Le Maroc ne cédera pas un pouce de son Sahara.
– Le Maroc n’accepte pas d’être réduit à un rôle de “subordonné”.
– Le Maroc ne marchande jamais sa dignité ni sa souveraineté.
Le roi Mohammed VI mène aujourd’hui une bataille dont le maître mot est la dignité nationale. Et certaines puissances peuvent être inquiètes, car le contrôle n’est plus entre leurs mains.
Citoyens marocains, où que vous soyez, ne vous laissez pas tromper par les étiquettes des journaux étrangers qui tentent de cacher le soleil avec un tamis. Notre roi n’est pas un roi des “manœuvres”, il est un roi de stratégie, de dignité et de souveraineté. Grâce à lui, le nom du Maroc brille dans les arènes internationales, associé à la force tranquille et à la sagesse affirmée.
Et pour ceux que ce changement dérange, relisez l’histoire : le Maroc n’a jamais été la queue de personne et ne le sera jamais. Levons la tête fièrement : nous sommes les enfants d’un pays qui construit sa grandeur avec détermination, sous le règne de Mohammed VI, avec un cœur marocain battant au rythme de la nation.